A propos de Clarence Massiani
J'entre au théâtre dès l'adolescence afin de me donner la parole et dire celle des autres. Je m'aventure au cinéma et à la télévision puis explore l'art de la narration et du collectage de la parole- Depuis 25 ans, je donne corps et voix à tous ces mots à travers des performances, spectacles et écritures littéraires. Publie dans la revue Nectart N°11 en juin 2020 : "l'art de collecter la parole et de rendre visible les invisibles" voir :
Cairn, Nectart et son site
clarencemassiani.com.
C’est top, cette idée et la description que tu en fais, du corps qui entre dans la terre petit à petit comme on se met à l’eau lorsqu’on hésite, qu’elle est trop froide. J’aime beaucoup. Merci.
Merci Anne pour tes mots, j’ai eu cette image du doigt qui creuse le béton et découvre la terre, c’était étrange mais délicieux. A bientôt.
beaucoup aimé te suivre là . Merci
Nous nageons donc ensemble dans les eaux sous la nuit étoilée Nathalie. Bonne soirée.
Bonjour Clarence. Pas question de te suivre. Trop peur. Et en plus le « trou » prend un jour d’avance (#8).
Merci Ugo pour la rectification des chiffres et aucune obligation à venir sous terre avec moi, merci pour ta lecture. Bon dimanche.
ça m’a fait penser à L’Image, ce court texte de Beckett
je ne sais pas pourquoi, peut-être pour le corps, alors que maintenant que j’écris, c’est Alice qui vient (je n’ai donc pas peur comme Ugo 😉 )
Merci Philippe pour cette résonance avec le texte de Beckett que je découvre grâce à toi et qui effectivement est magnifique. A te lire très vite, douce soirée.
Me fait penser drôlement à des errances de « l’été » de Camus, ou « le premier homme », souvenirs du Maghreb…., et oui tout à fait monologue de Beckett
Merci Clarence pour le bain délicieux !!
Je ne connais pas les errances de Camus et du premier homme, je vais aller voir – Merci Françoise, à bientôt.
Moi aussi je me suis laissée emporter…