Aller partout, division du travail, partage des tâches, a une vitesse folle, tous les axes, dans tous les sens, aller, retour, une rigueur protocolaire, sentent tout, observent tout, rendent compte. Bilan décevant : il n’y a rien à voir. Verdict terrible : les horreurs des humains sont horribles.
Faire, voire refaire la ville, à partir de points discontinus ? Des images venaient de villes vécues sans aucun protocole : Dublin sans Joyce, Londres sans Conan Doyle, Québec sans Louise Forestier, Montréal sans personne, Amsterdam sans rien fumer d’illégal, Florence sans Giotto, Prague sans liberté, Istambul sans Loti. D’autres encore, sans réserve : Cayenne, Nouméa, Saint-Pierre. Alger, Athènes aussi, plus loin dans ma mémoire. Très honnêtement, tenter le moindre protocole par les chaleurs présentes est pour moi totalement impossible. C’est la raison pour laquelle lâchement il m’a semblé plus prudent de faire appel à des ouvrières courageuses et plus sérieuses que moi. Mon erreur a été de ne pas être capable de bien leur expliquer qu’elle était la consigne. Ne leur en veuillez donc pas. Tout ça, c’est la faute à canicule. Et quand il fait trop chaud, c’est fou comme les mouettes sont rieuses.
Une autre audace que Nathalie encore ! Toutes sortes d’audaces… Merci, Ugo, de ce moment pas rien que ça du tout.
seul, le chat…
J’aime tes villes qui n’ont plus de sens sans ceux qui les disaient pour toi.
Merci Anne, Philippe, Danièle pour ces clins d’œil au passage. Vais transmettre aux fourmis et au chat aussi.
L’art du détournement, l’art caniculaire 🙂
les mouettes sont plus courageuses que les pigeons … ils disparaissent je ne sais où depuis que je leur ai interdit de pénétrer entre les volets