Pas de listes, des portraits comme des âmes quand un peintre au nom d’épice affirme que son rôle est d’effacer les couleurs constellant la toile blanche pour faire jaillir la peinture, quand il m’emporte vers Charleville-Mézières, sa ville natale, pour, enlevant tout des décors, des architectures, des murs, des lieux, livrer une fresque humaine,hyperréalisme en totale rupture d’avec ses toiles, éléphants, enluminés, rupestres ou paysages, délivrance d’un vrai jaillissant des anonymes, là, tous et toutes nous regardant dans les yeux, autant de personnages de la vie qui n’est pas un roman, les voir enfin, les entendre peut être, ils sont nous.
Les œuvres du peintre Francis Gimgembre (avec deux « m », contrairement à l’épice) sont [à découvrir sur la galerie de l’artiste].
Super, Ugo, et merci de nous faire voir la consigne autrement !
C’est un art le contre-pied et tu le danses parfaitement.
comme ne connais pas la consigne, ne cherche pas à la deviner… juste merci pour la découverte