#40jours #02 | immeuble aux quatre vents

Posté le 12 juin 2022 par Clarence Massiani

Je suis, là (…)

A propos de Clarence Massiani

J'entre au théâtre dès l'adolescence afin de me donner la parole et dire celle des autres. Je m'aventure au cinéma et à la télévision puis explore l'art de la narration et du collectage de la parole- Depuis 25 ans, je donne corps et voix à tous ces mots à travers des performances, spectacles et écritures littéraires. Publie dans la revue Nectart N°11 en juin 2020 : "l'art de collecter la parole et de rendre visible les invisibles" voir : Cairn, Nectart et son site clarencemassiani.com.

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9 commentaires à propos de “#40jours #02 | immeuble aux quatre vents”

JLuc Chovelon le 12 juin 2022 à 16 h 31 min a dit :

L’air est la matière de nos rêves écrivait Gaston Bachelard. Merci pour ce vent frais.
- Clarence Massiani le 14 juin 2022 à 17 h 13 min a dit :
  
  Mais c’est beau ce que dit Gaston Bachelard. Merci de me le faire découvrir. A bientôt.
Fil Berger le 12 juin 2022 à 16 h 46 min a dit :

Merci Clarence pour le souffle qui dévoile tous les personnages dans leur vérité nue.
- Clarence Massiani le 14 juin 2022 à 17 h 14 min a dit :
  
  J’aime l’idée que cela les dévoile, merci. A te lire.
Émilie Marot le 12 juin 2022 à 19 h 27 min a dit :

C’est magnifique cette idée de laisser les personnages au bord du vent et du vide de la façade enlevée. Merci Clarence pour ce très beau texte !
- Clarence Massiani le 14 juin 2022 à 17 h 15 min a dit :
  
  C’est une image qui m’est apparue très forte, ce vent – Merci pour ton regard. A bientôt dans tes écrits.
Simone Wambeke le 12 juin 2022 à 20 h 34 min a dit :

Très léger et beaucoup d’inspiration, Clarence, ton texte rafraîchit.
- Clarence Massiani le 14 juin 2022 à 17 h 15 min a dit :
  
  Merci Simone, que le vent continue de souffler sur nos mots.
Anne Dejardin le 16 juin 2022 à 11 h 36 min a dit :

Comme l’écrit Emilie, ton idée est vraiment intéressante, elle donne souffle et force à l’exercice qui du coup prend légitimité, se débarrasse de ce qui était imposé. Très belle idée, Clarence. On suit le mouvement du vent. Merci.