« Le plus petit plutôt que le sublime » ce pourrait être le chemin de la question
Des choses comme des histoires arrivent, ça toque au carreau de la tête.
On y va
On écoute jusqu’au bout.
laisser faire : pour aller où ?
Quelle forme pour ça ?
Il y a ces textes courts micro fictions centrées sur un personnage, portraits en quelque sorte. Revenir creuser à cet endroit? J’aime les personnages décadrés qui entrent dans la lumière. Je sais qu’il y aura des glissements vers (le fantastique) l’étrange
D’autres histoires sont venues. Maintenant qu’elles sont écrites, je sais qu’elles font trop de bruit.
Quelle forme ?
Quels mots pour ça ? quelles phrases ?
Je cherche des phrases calmes
Ça doit partir d’une émotion : Des petits pans de prose. des nouvelles? des poèmes en prose ? Je cherche l’ajustement entre l’appel de l’histoire et la présence aux choses qui sont des mots
Ce matin je sais que je ne sais rien qu’il faudrait lire tous les livres ou rien.
(Lire de la poésie ou rien)
Ce matin la langue saigne (au propre) le sang se répand ( au propre) : j’ai du sang plein la bouche, let les cheveux en désordre, j’écris face à une rue de pierres blanches et le jour se lève : ce ne sont pas des choses qu’on raconte, ça relève de l’intime alors ferme là .
Et des bruits du monde je fais quoi? les bruits crient. Les bruits tuent
écouter le caillou
Pour mener à bien ce projet il faudrait pouvoir partir à Oslo trois jours et surtout ne pas écrire
ton titre « peine » résonne avec ma situation bien en peine d’écrire un dossier de candidature à quoi ?
je te rejoins dans ces bribes et cherche mon chemin !
salut Nat