Sur le palier de la porte du 1er étage droite un vieux tapis de fibre de coco usé, les murs sont entoilés et peint d’une couleur crème, les portes sont bleues, une poignée de laiton brille au milieu de chacune, il y en a deux par palier. Au premier étage droite, il y a une sonnette ronde en marbre rose fixé sur la droite du chambranle, derrière le bois de la porte,il y a une porte blindée que l’on peut deviner à l’allure de la serrure, féroce et solide, la partie gauche de la porte, plus petite que la partie droite peut s’ouvrir, elle est aussi blindée.
Dans l’entrée,
À gauche de la porte d’entrée, l’interphone installé dans les années 70 est fixé au mur peint en blanc, le plastique jaunit par endroit.
Un petit radiateur en fonte, peint de la même couleur que les murs, est posé sous la grande fenêtre éclairant l’entrée et donnant sur une cour intérieure grise.
Dès les premiers pas dans l’appartement, le plancher crisse.
Une niche arrondie dont le fond est un miroir abrite une série de patères en métal peint en noir.
De ce côté, la moitié basse des murs est peinte du même blanc que le séjour, la partie haute du même gris.
Dans le double salon-séjour,
Les murs sont gris sur la partie haute, la partie du bas est blanche, de petites baguettes de bois moulurés habillent les murs de rectangles et encadrent portes de manière harmonieuse. . Les fenêtres sont en PVC ( du XXe au milieu de ces vestiges XIXe)
Au plafond, une ribambelle de fleurs de plâtre court autour de la pièce, au centre une rosace et un lustre à huit branches de laiton brillantes.
Au sol, un parquet en point de Hongrie, datant du XIXe, sur lequel trône une table ronde en merisier ou acajou et quatre chaises assorties, contre le mur Sud un vaisselier du même ordre, contre le mur Nord une grande cheminée de marbre blanc au-dessus de laquelle un miroir au mercure encadré d’un cadre en bois doré ciselé monte jusqu’au plafond. Devant la cheminée, le parquet entoure un rectangle de marbre sombre.
Deux grandes fenêtres donnent sur un balcon filant sur la longueur de l’appartement.
Dans la partie salon, un canapé en cuir marron et deux fauteuils assortis.
Dans la cuisine
Au sol, un carrelage blanc et noir très salissant.
Les murs sont recouverts d’une peinture laquée d’un blanc cassé. Il y a des meubles haut et bas fixé au mur. Une chaudière apparente sur la gauche de la gazinière.
Sous la fenêtre exposée sud, un garde-manger en bois encastré dans le mur sert de placard.
Dans la grande chambre
Le pan du mur, contre lequel le lit deux places est adossé, est bleu, un bleu un peu sombre contenant du vert et du gris. Le reste de la pièce est d’un blanc cassé usé.
Au sol, le parquet est identique à celui du séjour. A côté du lit, un tapis rose pâle en soie d’Iran
Au plafond, il y a un grand plafonnier de verre translucide recouvrant la rosace en totalité.
Derrière la porte de chambre, un grand placard qui va presque jusqu’au plafond est dissimulé dans le mur, il n’est jamais fermé car on en a perdu la clé.
Au-dessus des plinthes en bois, courent les tuyaux en cuivre du chauffage central.
À gauche de la première grande fenêtre, un chauffage en fonte, à droite un semainier en merisie. Contre un autre pan de mur, une imposante armoire en chêne.
Près du lit, une table de nuit en merisier avec un petit tiroir et des pieds effilés.
Dans la seconde chambre
Les quatre pans de mur sont blancs cassés, deux lits superposés contre le mur séparatif du salon-séjour assez anciens.
Il y a une grande armoire en pin, à portes coulissantes.
Le parquet est recouvert d’un linoléum crème
Le soleil illumine le mur sur le côté droit de la pièce.
Derrière la porte, un chauffage en fonte est brulant.
Le couloir
Les lames de bois sont parallèles car refaites par un artisan du dimanche. Contre le mur un petit chauffage en fer est relié au réseau du chauffage central.
Les wc ont été aménagés dans un angle de l’entrée pour être séparé de la salle de bain.
du carrelage vert et blanc tapisse les murs jusqu’à 2 m de haut, la chasse d’eau est en hauteur, une chainette permet de l’actionner.
Sur le côté derrière la porte, les compteurs électrique et gaz, la propriétaire refuse qu’on installe des compteurs Linky, elle est la seule de l’immeuble à faire de la résistance à ces compteurs émetteurs d’ondes. Tous les autres copropriétaires ont cédé aux avances d’Engie.
Au fond du couloir, Il y a la salle de bain.
C’est une pièce composée d’une douche italienne récente installée sur la gauche en entrant, avec un siège en plastique et une main courante fixés au mur.
Les murs sont carrelés jusqu’au plafond. De l’autre côté deux vasques blanches sur un plan recouvert de travertin blanc, un miroir recouvre la partie haute du mur presque jusqu’au plafond et sur les 2/3 en largeur.
Au fond de la pièce, une grande fenêtre au vitrage poli masque les occupants de la pièce, sur la droite, le lave-linge au-dessus duquel il y a un sèche-linge qu’on utilise jamais.
Au sol, un dallage beige imitant le marbre.