A cause de la couleur, elle ne voit plus tout en noir.
Jaune marguerite, s’ouvrir comme une fleur, déplier les bras, attraper les pétales du bout des doigts et les compter en les arrachant lentement, il , elle, tu, m’aime un peu beaucoup pas du tout.
Rouge coquelicot, se rouler dedans, goulûment, tendrement, sauvagement, s’enrouler les bras les jambes les pieds, rouge sur les joues et dans le cou.
Gris de la pluie pour sauter dans les flaques, brouiller son reflet et y découvrir une autre.
Danser sous le bleu du ciel, se perdre dans des yeux et se noyer au bout de l’océan.
A cause de la couleur, elle ne voit plus tout en noir mais en est-elle pour autant plus heureuse ?
comme une poésie, une comptine à dire et à chanter
et tu poses la question du bonheur… où est-il le bonheur ? rien qu’une fabrication, qu’en est-il au fond ?
Merci Françoise, je ne sais pas si j’ai eu réponse mais je ressens le bonheur de te retrouver dans nos textes. A te lire. Bises.
Un couleur, un geste … poésie qui donne envie de la continuer… ce qui faute de rendre heureuse, donne de la joie. Merci
Oui, oui de la joie, à mon tour de vous lire. Bon weekend.
Comme une chanson légère et poétique pour terminer par une question plus existentielle
Merci Huguette, à vous lire, à bientôt. Bonne soirée.
je reprendrais à Françoise le lot comptine
Merci Brigitte pour votre lecture, à tout bientôt.