Une bouche de fraise s’égare sans conscience au bois engloutit quenottes blanches sur cris d’effraie une robe tachée de rouge petite fille repue les poils doux du chien bleu transpercent les parents d’inédit ça luit n’oublie pas pourtant rien que la substance des mots qui racontent ce qui n’existe plus
La substance des mots, qui se mâche longtemps après