« That refinery, though, used to be a big thing, and Old Man Marsh, who owns it, must be richer’n Croesus. Queer old duck, though, and sticks mighty close in his home. He’s supposed to have developed some skin disease or deformity late in life that makes him keep out of sight. Grandson of Captain Obed Marsh, who founded the business. His mother seems to’ve ben some kind of foreigner — they say a South Sea islander — so everybody raised Cain when he married an Ipswich girl fifty years ago. They always do that about Innsmouth people, and folks here and hereabouts always try to cover up any Innsmouth blood they have in ’em. But Marsh’s children and grandchildren look just like anyone else so far’s I can see. I’ve had ’em pointed out to me here — though, come to think of it, the elder children don’t seem to be around lately. Never saw the old man.

« C’était une belle chose, pourtant, autrefois, cette usine d’affinage, et le vieux Marsh, son propriétaire, il était riche comme Crésus. Un drôle de vieux dindon, en même temps, qui restait cloîtré chez lui. On disait que sur ses vieux jours il avait attrapé une maladie de peau ou une difformité qui l’obligeait à rester hors de vue. Sa mère avait dû être une de ces étrangères, une fille des îles du Sud, aussi tout le monde grogna quand Cain se maria avec une fille d’Ipswich il y a cinquante ans. C’est toujours comme ça avec les gens d’Innsmouth, comme s’ils devaient se protéger du sang d’Innsmouth qu’ils portaient. Mais les enfants et petits-enfants de Marsh ressemblaient à n’importe qui d’autre, pour autant que je sache. J’ai eu affaire à eux plusieurs fois, à l’époque – encore qu’à y regarder de près, les plus vieux de ses enfants on ne les voyait plus, les derniers temps. Et jamais vu non plus le bonhomme.