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Recherches sur Jimi Hendrix

Il y a plusieurs années que je sais Jimi Hendrix comme l’horizon indispensable à mes trois premiers livres concernant le rock.

Les Stones sont un socle, parce que le lien directement autobiographique. Led Zep en était la suite, pour les avoir tellement écoutés bien sûr, mais parce qu’offrant pour les années 70 le même prisme optique qu’étaient les Stones pour les années 60. Dylan est à la fois l’archéologie, le maillon manquant pour la période avant Stones, 1956-1962, mais c’était découvrir une oeuvre qui est aussi de langage et pensée (les entretiens, les écrits des années folk).

Avec la vie fulgurante de Hendrix, le défi est physique. Comment aborder un fauve total ?

La bibliographie américaine est désormais considérable. Elle reproduit en partie ce qui se passe pour les précédents : un ensemble clos et progressivement exhaustif de témoignages et matériaux, le même pour chaque biographe, qui cernent l’énigme mais ne la résolvent pas.

Cette page d’index général servira de plaque tournante, en appui de la navigation hypertexte qui s’écrira à mesure de l’avancée des billets.