Michon traduit en québécois

littérature et politique : Jean-François Hamel (Montréal, UQAM) commente un texte de Michon sur Olivier Rolin


Ce qui est absolument contemporain pour moi en tant qu’écrivain, je veux dire ce qui constitue le territoire qu’il me revient d’explorer, c’est ce que je dois léguer, ce qui sans moi ne serait pas transmis : ce qui est donc, avec moi, en voie de disparition. Olivier Rolin, Ecrire au présent, Maison des sciences de l’homme, 2004.

 

UQAM : premier jour du colloque Figura organisé par Mathilde Barraband et Jean-François Hamel. Les entours de la littérature, ce sont entretiens, préfaces, articles de revue ou prises de position des écrivains, avec au programme des interventions sur Tarkos, Quintane, Molnar et pas seulement Bergounioux, Macé (merci Laurent Demanze) etc...

Cet après-midi, Jean-François Hamel s’attaque à un texte de Pierre Michon sur Olivier Rolin, et part de cette « fuite en Égypte » pour quelques incises sur la relation littérature et politique, comment la définir.

Avec en prime lecture d’un passage important de Michon, et d’un autre d’Olivier Rolin, deux raretés. Pour le seul plaisir, j’ai prélevé au crayon numérique 8 minutes des 30 de son intervention, tout du même gabarit.

Sur Jean-François Hamel, lire Sébastien Rongier dans remue.net, sur Revenances de l’histoire. Pour prolonger : François Bon, approches de Pierre Michon, et Olivier Rolin sur publie.net : Littérature, politique.

 

PS : sur la vidéo, on peut presque lire sur l’écran du MacAir de Bertrand Gervais, mais par discrétion on ne le fera pas !


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1ère mise en ligne et dernière modification le 5 juin 2009
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