« Dire que les étoiles dans sa crinière se perdaient, là, dans le miroir d’un doux incendie, plus fort que l’ombre et reparaissaient dans ses yeux, mais si loin, déjà, du présent. Et d’ici, si loin. »
« Dire que les étoiles dans sa crinière se perdaient, là, dans le miroir d’un doux incendie, plus fort que l’ombre et reparaissaient dans ses yeux, mais si loin, déjà, du présent. Et d’ici, si loin. »
une traversée des années 70, l’invention du documentaire-fiction, l’aventure intellectuelle et artistique comme chantier neuf de l’écriture
« On a lu Ricoeur, on connaît. Mais on connaît la vie, aussi, on sait ce qu’elle a et ce qu’elle est quand elle est dépouillée. Elle n’a pas de sens, ou si peu. Elle n’a rien que le temps qui passe. »
« La main m’a aidé à me lever. Je me suis blotti dans les bras. Je me suis blotti dans la chaleur des bras. La voix m’a dit ça va aller. »
portrait de ville et manuscrit à placer plus un chien et c’est ça le récit
« ma méfiance envers lui ma méfiance envers moi être son bourreau en faire mon bourreau, pour l’aimer. »
« Oh moi, la vie de famille avec les autres Degas, j’en ai un peu ma claque. »
« C’était le paysage, l’horizon, l’horizon de cette planète qui s’obscurcissait. »
"Chanceler sur les pentes arides."
« donc, la littérature : construction mentale sans lien aucun avec le réel et dont le créateur même met son existence sur le compte de la fiction »