« la dureté d’être dans le rouge »
« la dureté d’être dans le rouge »
« quitter l’écriture avant la fin »
« ROUGE est pour moi autant un substantif qu’un qualificatif :»
« je ne me souviens pas des arrivées dans les villes où j’ai vécu enfant, très vite je devinais qu’il faudrait bientôt fuir »
« Commencer dans la bouche un texte, en constater le flot, en sentir le flow. »
« l’envie bête cochonne de faire un livre immature, un bon gros livre faussement indomptable, et qui voudrait rien que ça »
« le bruit le son les couleurs les choses les personnes les étages la rue le temps le sable les chants le soleil la nuit les tissus les teintes les piscines la colline l’herbe « le chemin le vent les murmures le bleu le blanc le jaune l’orange le rouge la falaise »
« Derrière nous, le champs vert, hérissé d’Artemisia, tendues à vivre entre les grands froids et les chaleurs, sous la lumière du soleil et les particules salées, pliant tendrement sous la brise faible. Nous marchons sur cette bande blanche d’urgence entre la vie vivante et vibrante et l’illusion alcaline de la vie. »
« C’est un peu ça, vous voyez, entre le manuel et la recette de cuisine. Les ingrédients du bonheur. »
« Pourquoi dans les époques noires, se sert-on d’une encre invisible ? »