récit d’un internement, fin perdue et fragmentée
récit d’un internement, fin perdue et fragmentée
« Quand j’y réfléchis, je m’étonne de n’avoir encore jamais tué aucun de mes congénères. »
« Pas l’habitude de tout ça, de la violence, de la guerre, des coups de fouet, de la sueur, du courage, de la résistance. Ça suait de trouille. »
une histoire au coeur de la saga des Barnett : un inédit de l’auteur culte américain, exhumé par Patrick de Friberg
Se réveiller un matin et voir que tout a disparu. Se réveiller, et voir le monde tel qu’il est.
« le réel a besoin d’être fictionné pour être pensé »
N’est-ce pas étrange que des gens passent toute une vie sans même frôler le drame ?