« Le vagabond, le fuyard est ramené à l’intérieur. Il est calme à présent, plus rien n’indique l’agitation d’il y a quelques minutes à peine, ces soubresauts d’animal captif. »
... je m’en fous du livre, ce qui s’y trouve écrit m’accompagne, la parole comme la route elle ne finit pas, je vais la pousser devant moi à la lumière des phares dans la nuit...
« déjà enfant, je faisais vivre dans mes jeux de construction le fantasme du wagon-maison, espace de train habitable, c’est-à-dire fantasme d’un hors du monde clos sur lui-même et en perpétuel mouvement, mais mouvement insensible, pareil à une gravitation »