Trente ans
Trente ans que je n’ai pas vu ton visage, alors je le lis entre les lignes, peu de rides à la mémoire du cœur. Notre cœur qui bat, je l’écris, depuis notre premier émoi, je ne savais pas que ce serait toi. Trente ans et, les photos que l’on s’envoie, nos visages figés dans la mémoire du temps.