seize octobre deux mille dix-neuf
seize octobre deux mille dix-neuf je ne suis pas né, je nais, de ce matin atone et blanc de cette brume qui lentement se lève sur un jour sans lendemain, d’un cri étouffé, d’une ouate épaisse et douce, d’un embu pâle et gras comme un empâtement sur une toile de lin ; de ce regard qui hésite et se perd dans Continuer la lectureseize octobre deux mille dix-neuf